Les souffrances morales chez les enfants

Pendant la guerre, de nombreux enfants sont séparés de leurs parents. Ces derniers ont été raflés mais il ont réussis à protéger leurs enfants des nazis par le biais d'organisation clandestine. Ces enfants souffrent principalement du manque de leur parent mais aussi d'autres souffrances psychologiques. C'est pourquoi, afin de mieux appréhender ses réactions, les animateurs doivent essayer de connaître et surtout de comprendre ces enfants.

 

 

 

Les enfants peuvent être choqués d'apprendre ce qu'il se passe dans les camps, ils avaient sûrement beaucoup d'espoir de revoir leurs parents mais les nouvelles des journaux annoncent beaucoup de morts et ils sont effondrés par la nouvelle. Comme on peut le voir dans "La maison de Nina" , cette nouvelle provoque un problèmes d'énurésie nocturne chez un enfant, ce qui témoigne d'un mal être émotionnel.


 

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Par ailleurs, dans ce même film, on remarque une certaine haine envers les allemands chez les enfants,  où il s jettent des pierres sur les prisonniers allemands. Cette scène met en valeur leurs désirs de vengeance envers les coupables de leurs malheurs même si ces prisonniers ne sont pas les responsables.

 

 

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Souvent, la peine de ses enfants s'expriment à travers la violence car ils n'arrivent pas à exprimer se qu'ils ressentent. Un enfant de la colonie dans Berg et Beck, menace Berg car il refuse de lui obéir et il lui dit "si je reste ici, je casse tout".

 

De plus, certains enfants peuvent avoir des réactions étranges et dures à comprendre. Par exemple, dans Berg et Beck, Laura embrasse sa poupée qu'elle a transformée en adulte en lui dessinant des rides sur le visage "Tu n'as jamais vu Laura embrasser sa poupée" dit un moniteur a Berg qui lui demande conseil. Berg en déduira par là suite qu'elle fait cela car elle n'a jamais eu de mère, elle compense donc ce manque par la personnification de cette poupée qui lui est chère à ses yeux.

  Nathan qui travaillait chez son oncle à mis une montagne de chaussures dans la vitrine comme sur une photo d’Auschwitz. Il l’a fait en mémoire de son père mort dans le camp. Son oncle lui dit alors « souviens toi de ta vie, c’est ce que tu peux faire de mieux pour assurer ton avenir ». 

 

 

 


 

 

De plus, André manque de respect envers son oncle, le membre de sa famille le plus proche encore vivant, qui est venu le cherché dans sa belle voiture lorsqu'il défèque dans celle ci. Et finalement, André ne retournera pas chez son oncle. Le narrateur veut nous faire comprendre, par cette anecdote, que les enfants peuvent ne pas apprécier d'être pris en charge par des personnes de leur famille qu'ils n'apprécient pas et manifestent leur mécontentement par des actes gênants mais qui appellent à l'aide comme s'ils ne demandaient que de retrouver leurs parents.

 

 

Lors d’une fête Laura invente un jeu ou il faut relier des points mais en reliant ces points non numéroté on n’obtient aucun dessin. Une monitrice, Mireille, découvre que ces points correspondaient aux camps de concentration et prisons en Allemagne.

 

 

Le narrateur, resté comme un enfant, écrit des lettres à son ami Berk pour le gardé en vie. En cherchant à retrouver cette complicité qu'ils avaient tous les deux avant, Berg parle des souvenirs qu'ils avaient ensemble et raconte ensuite à Beck des histoires passionnée sur le cyclisme, comme ils avaient l'habitude de faire avant le départ de son ami. Berg lui raconte des histoires actuelles, de ce fait, il a l'impression que Berk reste en vie et ne l'a jamais quitter.

 

 

 


Chez les enfants, bien que les souffrances morales soit moins importantes que celles des déportés, elles restent tout de même graves. C'est pour ça que les moniteurs font tout leur possible pour les comprendre et interpreter leurs problèmes, leurs réactions afin de les aider dans leur quotidien. Ainsi, ils les aide pour que ces enfants aient une enfance la plus normale possible.



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